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14
Tu n'opprimeras point le mercenaire, pauvre et indigent, qu'il soit l'un de tes frères, ou l'un des étrangers demeurant dans ton pays, dans tes portes.
15
Tu lui donneras le salaire de sa journée avant le coucher du soleil ; car il est pauvre, et il lui tarde de le recevoir. Sans cela, il crierait à l'Éternel contre toi, et tu te chargerais d'un péché.
27
Ne refuse pas un bienfait à celui qui y a droit, Quand tu as le pouvoir de l'accorder.
28
Ne dis pas à ton prochain : Va et reviens, Demain je donnerai ! quand tu as de quoi donner.
12
Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes.
39
Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
40
De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.
34
Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres.
7
Rendez à tous ce qui leur est dû : l'impôt à qui vous devez l'impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l'honneur à qui vous devez l'honneur.
8
Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime les autres a accompli la loi.
10
L'amour ne fait point de mal au prochain : l'amour est donc l'accomplissement de la loi.
14
Car toute la loi est accomplie dans une seule parole, dans celle-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
14
Mais par-dessus toutes ces choses revêtez-vous de la charité, qui est le lien de la perfection.
5
Le but du commandement, c'est une charité venant d'un coeur pur, d'une bonne conscience, et d'une foi sincère.
8
Si vous accomplissez la loi royale, selon l'Écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien.
L'apôtre applique a nos relations avec tous nos semblables ce qu'il vient de dire (verset 7) de nos rapporte avec les représentants de l'Etat : n'ayez de dette envers aucun d'eux, acquittez-vous fidèlement de tous vos devoirs envers chacun.
Mais il est un devoir dont nous ne nous acquitterons jamais entièrement, c'est le devoir d'aimer nos frères ; quoi que nous fassions, une partie de notre dette envers le prochain subsistera ; elle s'accroîtra même à mesure que nous chercherons à remplir les obligations qu'elle nous impose, car ces obligations sont illimitées.
"La tâche de l'amour est infinie. Plus l'amour est actif, plus il la voit grandir, car, inventif comme il l'est, il découvre incessamment de nouveaux objets à son activité." Godet.
Plus nous nous acquittons de cette dette, plus elle augmente ; mais aussi plus nous la payons, plus nous devenons riches pour la payer encore.
"L'amour que nous donnons n'est pas perdu pour nous ; Il se multiplie en se donnant." Augustin.
Du reste, dans ce passage, Paul considère surtout l'amour comme le moyen de remplir tous les devoirs de la justice, de "ne point faire de mal au prochain." (verset 10) Il ne revient donc pas au sujet de la charité et de l'amour fraternel, qu'il a traité Romains 12.9 et suivants L'amour que l'apôtre recommande ici, c'est l'amour du prochain en général et non l'amour des chrétiens les uns pour les autres. (1Thessaloniciens 4.9 ; Jean 13.34)
Il dit : "Celui qui aime les autres a accompli la loi." Le verbe est au passé, parce que cet amour est une sûre garantie de l'accomplissement de tous les commandements de la loi ; celleci peut être envisagée comme déjà tout accomplie par celui qui aime. (verset 10)
Ne soyez « en dette » envers personne. Donnez à chacun ce qui lui appartient. Ne dépensez pas ce que vous devez aux autres. Beaucoup de personnes peu scrupuleuses, ne pensent guère aux tristes conséquences de l’endettement.
L'amour pour les autres inclut tous les devoirs de la loi. Les cinq derniers des dix commandements sont tous résumés dans cette loi royale : « tu aimeras ton prochain comme toi-même » ; cela signifie qu’il faut l’aimer avec la même sincérité qu’on a pour soi-même, bien qu’il ne s’agisse pas d’une même mesure et d’un même degré. Celui qui aime son prochain comme lui-même, désirera son bien-être. Cette règle d'or est fondée sur ce principe : faire aux autres ce que nous voudrions qui nous soit fait !
L'amour est un principe vivant et actif de l'obéissance à la loi entière. Nous devons éviter de blesser notre prochain, de nuire à nos relations avec lui, à ce qu’il possède ; efforçons-nous aussi de ne pratiquer aucune sorte de mal envers quiconque, de veiller à nous rendre utile, en toutes circonstances ici-bas !