Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
11
» Qui est semblable à toi parmi les dieux, Eternel ? Qui est, comme toi, magnifique de sainteté, redoutable, digne d’être loué, capable de faire des miracles ?
3
» Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.
23
Vous ne ferez pas de dieux en argent et en or pour me les associer ; vous ne vous en ferez pas.
7
» Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.
5
» *Tu aimeras l'Eternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force.
14
Vous ne suivrez pas d'autres dieux, pris parmi les dieux des peuples qui sont autour de vous,
18
Il a chassé devant nous tous les peuples, y compris les Amoréens qui habitaient ce pays. Nous aussi, nous servirons l'Eternel, car c’est lui qui est notre Dieu. »
19
Josué dit au peuple : « Vous ne serez pas capables de servir l'Eternel, car il est un Dieu saint, il est un Dieu jaloux. Il ne pardonnera pas vos transgressions et vos péchés.
20
Lorsque vous abandonnerez l'Eternel et que vous servirez des dieux étrangers, il se retournera contre vous et vous fera du mal, et il vous fera disparaître après vous avoir fait tant de bien. »
21
Le peuple dit à Josué : « Non, car nous servirons l'Eternel. »
22
Josué répliqua au peuple : « Vous êtes témoins contre vous-mêmes que c'est vous qui avez choisi l'Eternel pour le servir. » Ils répondirent : « Nous en sommes témoins. »
23
« Faites donc disparaître les dieux étrangers qui sont au milieu de vous et tournez votre cœur vers l'Eternel, le Dieu d'Israël ! »
24
Le peuple dit à Josué : « Nous servirons l'Eternel, notre Dieu, et nous lui obéirons. »
29
Cependant, ces nations fabriquèrent chacune leurs dieux dans les villes qu'elles habitaient, et elles les placèrent dans les centres de hauts lieux construits par les Samaritains.
30
Les gens de Babylone firent Succoth-Benoth, ceux de Cuth firent Nergal, ceux de Hamath firent Ashima,
31
ceux d'Avva firent Nibchaz et Tharthak. Ceux de Sepharvaïm brûlaient leurs enfants par le feu en l'honneur d'Adrammélec et d'Anammélec, les dieux de Sepharvaïm.
32
Ils craignaient aussi l'Eternel et ils se firent des prêtres de hauts lieux, pris parmi eux, qui offraient pour eux des sacrifices dans les centres de hauts lieux.
33
Ainsi, ils craignaient l'Eternel tout en servant leurs dieux d'après la coutume des nations d'où on les avait exilés.
34
Aujourd'hui encore, ils suivent leurs premières coutumes : ils ne craignent pas l'Eternel et ils ne se conforment ni à leurs propres prescriptions et règles, ni à la loi et aux commandements donnés par l'Eternel aux descendants de Jacob, celui qu'il a appelé Israël.
35
L'Eternel avait fait alliance avec eux, il leur avait donné cet ordre : « Vous ne craindrez pas d'autres dieux, vous ne les adorerez pas, vous ne les servirez pas et vous ne leur offrirez pas de sacrifices.
2
Rendez à l’Eternel la gloire due à son nom, prosternez-vous devant l’Eternel avec des ornements sacrés !
25
Qui d’autre ai-je au ciel ? Et sur la terre je ne prends plaisir qu’en toi.
9
Ecoute, mon peuple, et je t’avertirai ! Israël, si seulement tu m’écoutais !
4
Placez votre confiance en l'Eternel pour toujours, car l'Eternel, oui, l'Eternel est le rocher perpétuel.
10
C’est vous qui êtes mes témoins, déclare l'Eternel, ainsi que mon serviteur, celui que j'ai choisi afin que vous sachiez, croyiez et reconnaissiez qui je suis : avant moi jamais aucun dieu n’a été formé et après moi jamais aucun autre n’existera.
8
Ne tremblez pas, n’ayez pas peur ! Ne te l'ai-je pas depuis longtemps annoncé et révélé ? Vous êtes mes témoins : y a-t-il un autre Dieu en dehors de moi ? Il n'y a pas d'autre rocher, je n'en connais pas.
21
Faites vos révélations, présentez vos arguments ! Ils peuvent même tenir conseil tous ensemble ! Qui a annoncé cela par le passé, qui l’a révélé depuis longtemps ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ? *Il n'y a pas d'autre Dieu, en dehors de moi. Je suis le seul Dieu juste et qui sauve.
22
Tournez-vous vers moi et soyez sauvés, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! En effet, c’est moi qui suis Dieu et il n'y en a pas d'autre.
9
Souvenez-vous des tout premiers événements ! En effet, c’est moi qui suis Dieu et il n'y en a pas d'autre. Je suis Dieu et personne n'est comparable à moi.
6
Ne suivez pas d'autres dieux pour les servir et pour vous prosterner devant eux, ne m'irritez pas par votre manière d’agir, et je ne vous ferai aucun mal.’
15
Je vous ai envoyé tous mes serviteurs, les prophètes. Je les ai envoyés, inlassablement, pour vous dire : Que chacun renonce donc à sa mauvaise conduite, corrigez votre manière d’agir, ne suivez pas d'autres dieux pour les servir, et vous pourrez rester sur la terre que je vous ai donnée, à vous et à vos ancêtres. Pourtant, vous n'avez pas tendu l'oreille, vous ne m'avez pas écouté.’
10
Jésus lui dit alors : « Retire-toi, Satan ! En effet, il est écrit : C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras et c’est lui seul que tu serviras. »
4
Donc, pour ce qui est de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’une idole n’est rien dans le monde et qu'il n'y a qu’un seul Dieu.
6
Néanmoins, pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous vivons, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous vivons.
5
Vous le savez bien en effet, aucun être immoral, impur ou toujours désireux de posséder plus – c’est-à-dire idolâtre – n'a d'héritage dans le royaume de Christ et de Dieu.
19
Leur fin, c’est la perdition ; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte, ils ne pensent qu’aux réalités de ce monde.
18
Que personne, par son goût d’une fausse humilité et du culte des anges, ne vous prive de la victoire. Plongé dans ses visions, un tel homme est sans raison enflé d’orgueil sous l’effet de ses pensées tout humaines,
20
mais nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu et nous a donné l'intelligence pour connaître le vrai Dieu ; et nous sommes unis au vrai Dieu si nous sommes unis à son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le vrai Dieu et la vie éternelle.
21
Petits enfants, gardez-vous des idoles !
10
Je tombai à ses pieds pour l'adorer, mais il me dit : « Garde-toi bien de le faire ! Je suis ton compagnon de service et celui de tes frères et sœurs qui gardent le témoignage de Jésus. Adore Dieu, car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie. »
9
Mais il me dit : « Garde-toi bien de le faire ! Je suis ton compagnon de service, celui de tes frères les prophètes et de ceux qui gardent les paroles de ce livre. Adore Dieu. »
Le premier commandement
Dieu défend d'adorer une autre divinité que lui, l'Eternel. C'est la base de son alliance avec Israël : tout polythéisme est par là exclu. Cette défense résulte d'elle-même du sens du nom de Jéhova.
Devant ma face. Les mots ainsi traduits sont expliqués par plusieurs dans le sens de au-delà de moi, en dehors de moi. Mais l'emploi du terme ma face ne s'explique pas suffisamment dans ce sens et parle plutôt en faveur du sens que nous admettons : en ma présence ; sous mes yeux ; expression qui correspond à celle-ci : un Dieu jaloux, dans le second commandement, et à celle-ci : Je n'absoudrai point, dans le troisième. L'être infini discerne tout acte de l'homme, même intérieur, et entend toute parole sortant de sa bouche. C'est là ce qu'implique le nom de Jahvé.
On a supposé que Dieu voulait seulement défendre à Israël d'adorer un autre dieu que lui sous ses yeux, c'est-à-dire dans sa propre demeure, le Tabernacle. Mais cette interprétation si étroite est exclue par les deux parallèles cités, qui supposent l'omniprésence et l'omniscience de celui qui parle, et par la nature même de celui qui s'appelle Jahvé.
Le premier commandement mentionne qui doit être l'objet de notre adoration : l’Éternel et Lui seulement. Cela signifie qu'il est interdit d'adorer les créatures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre révérence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas céder à un sentiment de déception qui ne peut conduire qu'à une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit être fait à la gloire de Dieu.
Le second commandement se rapporte à l'adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue : tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les « inventions » humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu.
Le troisième commandement concerne la façon d'adorer : elle doit être faite avec toute la révérence et le sérieux possibles. Tout serment inconsidéré est prohibé. Toutes les injures au nom de l'Éternel et tous les jurons ne sont que d'affreuses offenses à Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain.
Le quatrième commandement est particulier : c'est un « rappel », c'est-à-dire que ce n'était pas la première fois qu'il était ordonné, mais que les hommes le connaissaient déjà. Un jour sur sept doit être sanctifié. Six jours sont consacrés au travail, mais il ne faut pas négliger ensuite le service de Dieu et le soin à apporter à notre âme. Aujourd'hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prévoir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d'accomplir en ce jour particulier les travaux de nécessité, de charité et de piété ; car le sabbat a été fait pour l'homme et non l'inverse, Marc 2:27 ; tout ce qui concerne le luxe, la vanité ou l'autosatisfaction est à éviter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d'affaires, toute étude industrielle, déplacement, voyage mondain ou conversations légères, ne font que gâter la sainteté de ce jour, que Dieu a mis à part.
La paresse et l'indolence font partie des attitudes « du monde », mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit être un jour où l'on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifié, sont la bonne santé et la joie des hommes, ce temps mis à part étant consacré au soin de l'âme et au rappel de l'excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est béni ; les hommes qui le respectent sont bénis, en lui et par lui. Cette bénédiction et ce respect de la sainteté ne sont pas consacrés à un septième jour ordinaire, mais au jour du sabbat.